T’en es où?

Bah oui, j’en suis où au fait?

Ceux qui me suivent depuis un petit moment savent que je me suis principalement attelée à la recherche d’un local ces derniers temps.

Eh bien je peux vous dire que ça ne court pas les rues
1) un lieu à louer qui a du charme
2) qui ne se trouve pas dans un coin désert
3) qui ne soit pas hors de prix – 4000 francs suisses par mois pour 40 m2, je trouve ça hors de prix, pour dire
4) pour lequel on n’est pas 15 à déposer un dossier béton

Et je ne parle même pas du fait qu’une fois ces 4 points surmontés, il faut encore réussir à convaincre les gérances et propriétaires d’immeubles que non, on ne fera pas griller un cochon entier au milieu de leur joli local (l’alimentaire a parfois mauvaise réputation) et oui, il y a forcément quelques normes à respecter au niveau hygiène mais ce n’est clairement pas insurmontable.

Et voilà, le temps passe et les locaux intéressants ne se suivent ni ne se ressemblent.

Peu à peu je me suis dit qu’il fallait que je trouve un moyen de démarrer quelque chose rapidement, comme une première étape vers ce projet qui me tient à coeur.
Trouver le moyen, dans un premier temps, de démarrer sans ce satané local.

Et c’est là que j’ai pensé aux marchés alimentaires qui rassemblent en un même endroit un nombre important de visiteurs sur une période donnée.

Puis en voyant certains étalages de marchés londoniens juste trop chouettes – comme Violet et Coco&Me – je me suis dit qu’il y avait forcément quelque chose à faire dans ce sens-là…

La suite au prochain épisode…


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