Les marchés, ça marche comment? #3 Ce que j’ai appris

– Du policier (ière) ton ami(e) tu feras. Il est dans ton intérêt de l’avoir de ton côté, montrer que tu n’es pas compliqué et surtout, il est totalement inutile d’essayer de remettre en question des pratiques établies (même si elles sont débiles vieillottes). Bah oui, c’est lui (ou elle) qui décidera de ton emplacement.

Photo empruntée au blog « The One. Si comme moi tu veux être un winner ». Ça ne s’invente pas.

– De ton esprit l’idée que les bonnets péruviens, foulards Johnny Hallyday ou autres cachemires made in China c’est nul, tu éloigneras. Ça se vend. Et plutôt bien même.

– En hiver à un petit ours tu ressembleras. Impossible d’y échapper, sous peine de perdre un doigt ou même pire, qui sait. Donc twitter tu éviteras, pour la même raison.

– Le thermos de thé, le mini chauffage et le caillebotis qui t’isole du sol tu chériras (Merci Nicole, Toni et Julien!).

– Des stratagèmes pour aller faire pipi tu emploieras.

– De salées au fromage, délices au salami et branches Cailler tu te nourriras.

– Le stand qui distribue du vin chaud tu repéreras.

– Les demandes de chaque client tu écouteras: -“Vous ne vendez pas de pecorino?” -“Heu non, j’essaie de mettre en valeur les produits du terroir suisse” -“Ah mince, je vous en aurais pris sinon” -“…”.

– A chaque instant tu souriras: “C’est vraiment très joli, mais je suis allergique au gluten, au lactose et à la viande!” (et compatiras).

– Et quand il fait +4° (canicule!) et qu’il y un rayon de soleil, chanceuse tu te sentiras!


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